Chronique 57 : Les fourmis, Bernard Werber

jeudi 31 janvier 2013


Couverture La Trilogie des Fourmis, tome 1 : Les FourmisLes fourmis

Éditions : Le livre de poche
Genre : Science-Fiction
Nombre de pages : 337
Date de sortie : 1991

Quatrième de couverture, Synopsis 

Pendant les quelques secondes nécessaires pour lire cette seule phrase vont naître sur terre quarante humains mais surtout sept cents millions de fourmis. 
Depuis plus de cent millions d'années avant nous, elles sont là, réparties en légions, en cités, en empires sur toute la surface du globe. Iles ont créé une civilisation parallèle, bâti de véritables royaumes, inventé les armes les plus sophistiquées, conçu tout un art de la guerre et de la cité que nous sommes loin d'égaler, maîtrisé une technologie stupéfiante. Elles ont leur propre Attila, Christophe Colomb, Jules César, Machiavel ou Léonard de Vinci. 
Le jour des fourmis approche. Le roman pas comme les autres nous dit pourquoi et nous plonge de manière saisissante dans un univers de crimes, de monstruosités, de guerres tel que nous n'en avons jamais connu. 
Au-delà de toute imagination. Il nous fait entrer dans le monde des infra¬terrestres. Attention où vous mettrez les pieds. 
Après avoir lu ce roman fascinant, vous risquez de ne plus regarder la réalité de la même manière.

L'auteur Bernard Werber est né le 18 septembre 1961 à Toulouse. 
Il est un écrivain français de science-fiction connu notamment pour sa trilogie des Fourmis. 
Ses oeuvres abordent les thèmes de la science-fictionmythologiespiritualitéphilosophiebiologie et futurologie.



Mon avis

     J'avais déjà pu lire un livre de Werber, et je n'avais pas forcément été convaincue. C'était Le miroir de Cassandre. L'histoire en elle-même était sympa, mais j'ai eu du mal avec la narration.
Puis j'ai découvert L'encyclopédie du savoir relatif et absolu, que j'avais vraiment trouvé originale et sympathique.
Cependant, un ami a voulu me faire découvrir Les fourmis et à nouveau je suis assez partagée. 

     Le résumé rendait le livre prometteur, et finalement je n'ai apprécié le livre qu'à moitié.
Il faut savoir que le livre est lui même divisé en deux partie assez distinctes, qui se prennent place régulièrement.
Il y a la partie des fourmis, et la partie des Hommes. 
A travers la partie fourmis, on vit en premier dans l'une d'elle. Chez les humains, on découvre tout au long du livre le secret d'une cave.

    Arrivée à la moitié du livre, impossible d'accrocher sincèrement à nos voisines d'en bas, et je n'ai plus hésité à lire en diagonale, voire sauter quelques pages. 
Cependant, j'ai pris un réel plaisir quand je pouvais retrouver l'énigme souterraine de cette maison. 
D'ailleurs j'ai trouvé, des deux côtés, que la fin était vraiment originale (même si c'est peu probable) et elle m'a plutôt plu.

Concernant à l'attachement aux personnages, je ne m'y suis pas tellement retrouvée non plus. 
Enfin bon, assez agréable mais quand même déçue. 
Il faudrait que je tente d'autres romans de cet auteur quand même, sans grande conviction cependant.

Qu'en avez-vous pensé de votre côté ?
Et quel roman de cet auteur avait vous vraiment adoré ? (Si vous en avez adoré, hum)

[Kyeira]

5 commentaires:

  1. Mon premier Werber fût les fourmis et j'ai apprécié le fond, l'idée des fourmis etc. Mais je n'aime pas du tout son style, la lecture, bien qu'original et intéressante, fut laborieuse.

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    1. Ces idées sont vraiment originales oui ! C'est dommage de ne pas arriver à être pourtant satisfait..

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  2. Seule son "Encyclopédie" m'a plu.
    Je trouve qu'il n'a pas le talent nécessaire pour écrire un roman...

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    1. Oui et son Encyclopédie est d'ailleurs excellente. Mais c'est vrai que l'approche "écriture" n'est pas la même pour une "encyclopédie" qu'un roman. Je ne sais pas si c'est un manque de talent ou quoi, mais sa plume n'est pas agréable du tout, certain aime. Plus qu'à espérer qu'il s'améliore sur ce point.

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    2. J'ai également adoré son encyclopédie que je trouve vraiment très originale.
      Après ce qui me gêne le plus dans ses romans, c'est la narration au présent. Je n'ai pas l'habitude, et dans Le miroir de Cassandra ça m'a vraiment dérangée. Alors que dans d'autres romans eux mêmes au présent, ça passe sans soucis, presque invisible.

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