J'ai longtemps souhaité vous écrire un article sur l'anxiété. Pas forcément l'anxiété en général, mais celle que je ressens et vis au quotidien. J'ai mis du temps à coucher ces mots sur écran, et finalement, je me suis rendue compte que ce qui me bloquait, c'était la crainte de ne pas proposer de « solutions » telle qu'une blogueuse pourrait le faire. Finalement, après plusieurs temps de réflexion, je me suis dit que c'était là aussi ma passion : parler de sujets qui me touchent, même si je n'ai pas la clef du dénouement. Et si je parviens à toucher certain·e·s d'entre vous, discuter, et échanger sur ces mêmes craintes, alors je serai comblée.
D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours été anxieuse. Je me suis sentie « responsable de » assez tôt, et dès le collège j'ai toujours eu l'esprit embrumé par une appréhension constante du futur. Finalement, je me suis retrouvée dans une spirale où je préfère imaginer le pire, pour n'être que soulagée de ce qui pourrait advenir - il est rare que le pire arrive, et souvent tout se termine très bien. Mais quand un mal qui envahit mon esprit, c'est plus fort que moi, comme si l'angoisse contrôlait ma raison et me faisait perdre la tête.
On m'a souvent dit que j'avais l'air sûre de moi (dans le sens « tout gérer comme une pro sans jamais douter ») et c'est peut-être une façade car au fond le moindre détail prend très régulièrement des proportions cauchemardesques au-delà même du tangible. C'est infondé, mes proches ont beau me raisonner, je suis toujours dans l'hypothétique, dans le scénario-catastrophe, dans l'interprétation incertaine.
Il m'a fallu du temps et beaucoup de recherches pour parvenir à mettre des mots sur certaines émotions, certaines facettes de ma personnalité qu'on m'a souvent reprochée. Finalement, j'ai compris que je ne « pleurais [pas] pour un rien » mais que ces émotions pouvaient relever d'une certaine hypersensibilité. Si je prenais tant à coeur certaines causes, certaines histoires ce n'était pas parce que je ne m'en « fichais » pas - comme il aurait fallu le faire - mais qu'au contraire l'empathie était là aussi responsable. J'ai aussi compris que je n'étais pas bizarre quand je disais me sentir mal dans certaines soirées, quitte à préférer parfois peu de compagnie, et qu'il s'agissait surtout d'introversion plus que d'aversion envers le monde.
Finalement, ces trois mots-clefs résument ce que je suis aujourd'hui, et le MBTI test (je vous laisse aller voir ici de quoi il s'agit ! je meurs d'envie de savoir quel est votre personnalité !) a confirmé ces propos en me prêtant les lettres INFJ. Et même si je suis incapable de proposer des solutions pour aller mieux, mettre des mots sur ces sensations, sur ces traits de caractère enlève un poids immense : celui de ne pas comprendre. Mettre des mots projette tout simplement les contours de certaines souffrances et cela me semble essentiel pour mieux les appréhender et les transformer en qualités indéniables. Et puis une fois que l'on a compris comme l'on fonctionne, c'est tellement plus simple d'agir en fonction, de ne plus se forcer à faire quelque chose qui ne nous correspond pas (et qu'on n'avait pas compris jusqu'alors).
Je pense que dans ces moments difficiles, chacun réagit différemment et le corps peut souffrir pour en témoigner (maux de ventre, de tête, acné, démangeaisons...). À nouveau je ne connais pas de remède miracle (même si je dois dire que, par exemple, vous écrire cet article me fait du bien, et a su me détendre). Si certain·e·s vous diront d'essayer de s'apaiser, par la lecture par exemple, il me sera impossible pour ma part de me plonger dans un roman tant que je n'aurais pas l'esprit tranquille. Finalement, si j'adorais les mathématiques au lycée, c'est bien parce qu'ils me permettaient de ne penser à rien d'autres qu'à eux le temps de deux petites heures. C'est une sensation que certains trouvent avec le sport ; il m'arrive de ressentir cela à nouveau lorsque je m'occupe de mon blog par exemple.
Alors voilà, aujourd'hui je sais où peuvent être certaines de mes faiblesses, mais je sais aussi à quoi elles correspondent, et comment je suis capable de passer au-dessus ou non. Gérer les crises d'angoisse (de plus en plus rare), et les tracas du quotidien (de plus en plus nombreux) n'est pas chose facile, et je suis consciente que ça ne se résoudra pas du jour au lendemain. C'est embêtant à la fois pour moi mais également pour mes proches vers qui j'essaie sans cesse de me rassurer. Et finalement, face à quelqu'un qui est aussi anxieux, la meilleure solution est souvent d'écouter, de réconforter, de lui faire entendre que tout ira bien, et qu'au pire, il y aura toujours une solution, ou quelqu'un pas très loin. Et surtout, ne pas alimenter ces angoisses, où il suffit parfois d'un simple mot dans une discussion pour les raviver et envahir les pensées.
Il m'a fallu du temps et beaucoup de recherches pour parvenir à mettre des mots sur certaines émotions, certaines facettes de ma personnalité qu'on m'a souvent reprochée. Finalement, j'ai compris que je ne « pleurais [pas] pour un rien » mais que ces émotions pouvaient relever d'une certaine hypersensibilité. Si je prenais tant à coeur certaines causes, certaines histoires ce n'était pas parce que je ne m'en « fichais » pas - comme il aurait fallu le faire - mais qu'au contraire l'empathie était là aussi responsable. J'ai aussi compris que je n'étais pas bizarre quand je disais me sentir mal dans certaines soirées, quitte à préférer parfois peu de compagnie, et qu'il s'agissait surtout d'introversion plus que d'aversion envers le monde.
Finalement, ces trois mots-clefs résument ce que je suis aujourd'hui, et le MBTI test (je vous laisse aller voir ici de quoi il s'agit ! je meurs d'envie de savoir quel est votre personnalité !) a confirmé ces propos en me prêtant les lettres INFJ. Et même si je suis incapable de proposer des solutions pour aller mieux, mettre des mots sur ces sensations, sur ces traits de caractère enlève un poids immense : celui de ne pas comprendre. Mettre des mots projette tout simplement les contours de certaines souffrances et cela me semble essentiel pour mieux les appréhender et les transformer en qualités indéniables. Et puis une fois que l'on a compris comme l'on fonctionne, c'est tellement plus simple d'agir en fonction, de ne plus se forcer à faire quelque chose qui ne nous correspond pas (et qu'on n'avait pas compris jusqu'alors).
Je pense que dans ces moments difficiles, chacun réagit différemment et le corps peut souffrir pour en témoigner (maux de ventre, de tête, acné, démangeaisons...). À nouveau je ne connais pas de remède miracle (même si je dois dire que, par exemple, vous écrire cet article me fait du bien, et a su me détendre). Si certain·e·s vous diront d'essayer de s'apaiser, par la lecture par exemple, il me sera impossible pour ma part de me plonger dans un roman tant que je n'aurais pas l'esprit tranquille. Finalement, si j'adorais les mathématiques au lycée, c'est bien parce qu'ils me permettaient de ne penser à rien d'autres qu'à eux le temps de deux petites heures. C'est une sensation que certains trouvent avec le sport ; il m'arrive de ressentir cela à nouveau lorsque je m'occupe de mon blog par exemple.
Alors voilà, aujourd'hui je sais où peuvent être certaines de mes faiblesses, mais je sais aussi à quoi elles correspondent, et comment je suis capable de passer au-dessus ou non. Gérer les crises d'angoisse (de plus en plus rare), et les tracas du quotidien (de plus en plus nombreux) n'est pas chose facile, et je suis consciente que ça ne se résoudra pas du jour au lendemain. C'est embêtant à la fois pour moi mais également pour mes proches vers qui j'essaie sans cesse de me rassurer. Et finalement, face à quelqu'un qui est aussi anxieux, la meilleure solution est souvent d'écouter, de réconforter, de lui faire entendre que tout ira bien, et qu'au pire, il y aura toujours une solution, ou quelqu'un pas très loin. Et surtout, ne pas alimenter ces angoisses, où il suffit parfois d'un simple mot dans une discussion pour les raviver et envahir les pensées.
Et dans les cas désespérés, j'essaie de me rappeler cette petite phrase
qui me permet de prendre un peu de recul :
qui me permet de prendre un peu de recul :
« Est-ce que ton problème a une solution ?
Si oui, à quoi bon stresser ? Si non, à quoi bon également ? »
Si oui, à quoi bon stresser ? Si non, à quoi bon également ? »
Quelques liens pour mieux saisir le sujet
J'ai tenté le test de personnalité, je tombe sur "Avocat" :)
RépondreSupprimerEn tout casmerci pour cet article, je m'y retrouve sous certains aspects :)
Coucou ! On a le même type alors :) Je suis "avocat" aussi ! Ca doit pas être facile tous les jours :p
SupprimerTrès bon article. Je me suis reconnue dans certains passages. Je suis également très anxieuse et hypersensible et introvertie, même si j'essaie de ne pas le montrer au quotidien. Et je suis tout à fait d'accord ça fait du bien de mettre des mots sur ce que l'on ressent ou ce que l'on est :)
RépondreSupprimerPour ma part le test m'a donné les lettres "INFP", je suis médiateur.
Bonjour Anna ! :)
SupprimerOh, notre résultat n'est pas très loin ! J'avoue que ça ne me dérange pas trop de montrer mes émotions, ça m'aide un peu de les "libérer" bien que j'ai peur d'effrayer les gens parfois haha. C'est compliqué de gérer tout ça mine de rien...
Merci pour ton message !
Le test me classe dans les "avocats" aussi mais j'ai une lettre de plus: INFJ-T ? Je pense que ce n'est pas pour rien que j'apprécie tes écrits, c'est parce qu'on pense pareil! ;-)
RépondreSupprimerCoucou ! Le -T apparaît chez tout le monde il me semble, je crois que ça veut dire "type" !
SupprimerOh c'est très gentil en tout cas, merci beaucoup :D
Pour moi aussi INFJ-T... Ce test est assez surprenant, il tombe très juste !! On est une bande d'avocats autour de toi, c'est marrant...
RépondreSupprimerOui, pour 1% de la population il y a par ici une forte concentration ! C'est assez drôle, et en même temps je pense qu'il y a bien une raison à cela :D
SupprimerLe test tombe très juste et si l'on fait de plus amples de recherche ça va assez loin dans le détail, c'est parfois un peu flippant tellement cela nous ressemble je trouve !
Coucou,
RépondreSupprimerComme dit sur Twitter il y a quelques jours, je découvre tout juste ton blog et pile à ce moment-là, tu écris ces mots... Ces mots : "Et puis une fois que l'on a compris comme l'on fonctionne, c'est tellement plus simple d'agir en fonction, de ne plus se forcer à faire quelque chose qui ne nous correspond pas (et qu'on n'avait pas compris jusqu'alors)."
Je suis angoissée et ainsi hypersensible depuis toute petite et ce que tu dis avec ce dernier paragraphe, c'est juste la vérité. Depuis près d'un an, avec un témoignage très fort qui m'a très émue et appris aussi beaucoup de choses sur moi-même, je prends le temps de penser à ces émotions trop extrêmes pour les autres mais bien loin d'être banales pour moi. J'en parlais encore avec ma maman hier et elle me disait qu'elle ne me connaissait pas autrement et c'est ainsi que je lui ai répondu que finalement, je n'ai pas envie de changer, loin de là d'ailleurs ! Apprendre à gérer l'angoisse, les larmes etc. c'est important pour les proches et un peu pour soi également car comme tu le dis, il y a des travers sur le corps et la santé en conséquence, mais si c'est quelque chose d'aussi fort dans la personnalité, il ne faut pas détester cette partie non plus.
En tout cas, je te remercie pour ce très bel article, car c'est un sujet qui certes me tracasse parfois trop, mais qui est si intéressant !
Belle journée à toi.
Bonjour Julie ! :)
SupprimerMerci beaucoup pour ton message et tes encouragements ! Oh non je suis complètement d'accord, il n'est pas question d'être différente pour sembler « normale » ! Jamais. Je pense que ça ne ferait qu'empirer. Mais savoir pourquoi on ressent ça, ça aide énormément je trouve. Personnellement je suis très fière d'être hypersensible, ou énormément empathique. Je ne me verrai pas ne plus l'être. Certes, ce n'est pas toujours évident mais cela fait partie de moi et si mes proches restent avec moi ils sont bien au courant ;)
Bonne journée à toi aussi !
Nous ne sommes pas très différentes alors Cassandra ! Par contre je déteste les maths depuis toujours haha Je suis INFP pour ma part. Depuis que toi, Robin et Justine parlez d'anxiété sur les réseaux sociaux je me suis plusieurs fois posée la question du : est-ce que j'en suis touchée moi aussi ? Je n'y avais jamais vraiment réfléchi avant, c'était juste "je suis très facilement stressée et vite paranoïaque" je ne cherchais pas plus loin et c'était un peu en mode fataliste et en même temps culpabilisant (soit de la part de mon entourage soit de moi-même). J'ai aussi toujours cherché à être rassurée ce que beaucoup ne comprennent pas (soit en ne voyant rien soit en s'énervant) et ça me met assez en colère dans le sens où ça me fait me sentir immature.
RépondreSupprimerDu coup j'imagine que l'anxiété je connais bien aussi depuis un moment mais rarement au niveau de la crise d'angoisse alors je ne sais pas trop si elle a un degré important ou "normal". Par contre depuis à peine plus d'un an c'est la dépression qui a débarqué. J'ignore si c'est l'anxiété qui a fini par causer la dépression ou si au contraire c'est celle-ci qui a accentué l'autre (par exemple je stresse bien plus pour le salon de Montreuil que les 2 années précédentes alors que j'en ai envie en même temps) même si m'est avis que la 2eme réponse soit plus probable, mais dans tous les cas, d'après ce que j'en ai lu, les deux "troubles" sont étroitement liés. C'est d'ailleurs un peu paradoxal puisque l'anxiété est la panique du futur, tandis que la dépression est la souffrance du passé. Mais j'ai comme l'impression que la 2eme (dépression) est encore plus mal jugée que la 1ère (anxiété) dans la société actuelle qui impose les belles apparences et l'égoïsme... D'ailleurs je ne l'ai admis qu'à très peu de personnes de mon entourage justement parce que je sais que je prendrais le risque d'être encore plus enfoncée, ce dont je n'ai vraiment pas besoin ! Les clichés sont persistants... et puis je n'ai pas été diagnostiquée médicalement non plus mais je ne suis pas si aveugle. J'ai envie d'en parler ces temps-ci sur mon blog mais je pense que je serai obligée de limiter l'audience pour un minimum d'auto-protection donc je mettrai un mot de passe pour que seules les personnes en qui j'ai confiance puissent y avoir accès.
De mon côté en tout cas ce qui m'a éclairée c'est l'hypersensibilité que tu mentionnes un peu. C'est très simple, si on me demande de me décrire c'est le seul mot qui me vient à l'esprit et qui explique aussi bien le bon que le mauvais en moi. ça peut paraître réducteur de résumer une personne à cette sensibilité extrême mais elle englobe tellement de choses différentes que pour moi ce n'est pas un détail mais tout un caractère. Pendant longtemps je n'avais pas posé de mots sur tous mes ressentis (aussi bien physiques que psychologiques), puis j'ai détesté être "différente", et ça ne fait pas si longtemps que je me comprends un peu mieux, en ayant lu plusieurs choses sur ce thème, bien que ça ne veuille pas dire pour autant que j'arrive à la gérer. ça fait d'ailleurs longtemps que j'aimerais écrire à ce sujet mais c'est très difficile de trouver les bons mots et c'est quasiment impossible à comprendre pour quelqu'un qui ne fonctionne pas ainsi (ça peut même être expliqué scientifiquement). Le jour où je me déciderai si tu le souhaite je te préviendrai :) En support vidéo je ne m'en sens pas capable par contre.
L'introversion, tu t'en doutes avec ce pavé que je viens de te pondre (so sorry !), je comprends tout à fait aussi. Voilà voilà merci pour cet article inspirant Cassandra :) Bisous <3
Coucou Clémence !
SupprimerJe t'avoue que j'ai une relation assez particulière sur la dépression car plusieurs membres de ma famille ont été touchés et du coup j'ai toujours été sensibilisée à ce mal-être. Mais il est vrai que de toute façon, se sentir mal et mal jugé. Combien de fois j'entends « mais pourquoi ? » ou bien « ça sert à rien d'être comme ça » comme si ça nous amusait ou que c'était un choix.
Je comprends ce que tu veux dire par « auto-protection ». Par exemple, je n'ai pas partagé mon article sur Facebook !
Ah non pour moi l'hypersensiblité ne se résume pas à pleurer rapidement, pour moi ça va forcément de pair avec l'empathie et une certaine approche du monde. Et en même temps, je ne veux pas non plus me réduire à quelqu'un d'hypersensible parce qu'il n'y a pas que ça. Je sais pas si c'est très clair haha.
En tout cas écrire fait du bien, même si ce n'est pas pour être publié. Il m'arrive d'écrire seulement pour moi, et ça permet de mieux comprendre. Je lis beaucoup sur le sujet pour me réconforter et me rassurer ! Qu'est-ce que ça fait du bien d'avoir l'impression d'être compris.e.
Merci beaucoup pour ton message Clémence ! Passe un bon week-end :)
Ah non c'est sur que ce n'est pas juste pleurer facilement. D'ailleurs je trouve que l'hyperémotivité ce n'est pas exactement la même chose que l'hypersensibilité bien que les deux aillent souvent ensemble (mais ce n'est pas systématique). Par exemple parfois intérieurement des remarques me font l'effet d'une vraie claque mais ça ne se verra pas ou alors on croira que je fais la tronche alors que c'est de la tristesse et parfois je préfère même jouer sur la colère pour cacher la douleur.
SupprimerBon week end à toi aussi 😊
Article très intéressant , je me retrouve sur certains aspects. Merci pour le lien du test j'ai appris que j'étais infp , médiatrice ce qui me correspond bien :)
RépondreSupprimerCoucou ! Ha super, ravie que le test t'ait plu :D Ca donne envie de le faire passer à tous ses proches je trouve :)
SupprimerCoucou Cass ! Je prends enfin le temps de lire ton article et je dois dire que je me retrouve énormément dans tes mots. Comme tu le sais je suis moi aussi INFJ. Quand j'étais plus jeune je ne me sentais pas à ma place, j'avais l'impression d'être née à la mauvaise époque, de ne pas être normale etc. Avec le temps ça ne s'est pas arrangé, je suis passée par des phases vraiment difficiles...
RépondreSupprimerMais cet été j'ai découvert ce qu'était l’hypersensibilité et ça a vraiment changé ma vie. Comme tu le dis, pouvoir mettre des mots sur ce que l'on ressent permet d'avancer. Merci pour le lien de la conférence TED j'irai voir :)
Merci pour cet article, personnellement, je ne trouve pas encore le courage d'écrire sur le sujet <3
Coucou Emelina ! Je suis terriblement désolée de ne répondre que maintenant, avec les cours je n'ai plus le temps de rien !
SupprimerJ'espère que la conférence TED t'aura plus !
Mettre des mots sur des idées qu'on a du mal à définir change toute la donne je trouve. En tout cas ça a changé ma vision des choses et ça va beaucoup mieux depuis.
Gros bisous :)
j'ai beaucoup aimé lire ton article, je l'ai trouvé très intéressant :) J'irai jeter un œil au test, ça m'intrigue ;) Passe une belle soirée Cassandra, je te fais plein de bisous ♥
RépondreSupprimerSue-Ricette
Merci beaucoup pour ton message ! Alors, quelle personnalité as-tu eu ? ^^
SupprimerJe suis Avocat, et je trouve que ça correspond bien à ma personnalité :) Des bisous ♥
SupprimerSue-Ricette
Salut Cassandra !
RépondreSupprimerJ'ai beaucoup aimé ton article (je n'ai pas encore eu le temps de faire le test bien qu'il me semble l'avoir déjà fait en cours et d'être IN quelque chose x) on repassera pour la précision).
Ce que j'aime beaucoup dans ton article c'est qu'il s'agit d'une invitation à la déculpabilisation. Je suis une personne assez sensible, qui éponge facilement les émotions des autres tout en étant incapable de gérer les miens dont mon stress. Et tu parles simplement de ton quotidien, de ton expérience et de ta vie de tous les jours. On se sent juste moins seule après cette lecture. Ce n'est pas anormale de ressentir ce que l'on ressent, d'être qui l'on est. Et si je n'arrive pas à mettre des mots sur ces émotions, d'autres le font par le biais de blog, de youtube, des réseaux sociaux... du partage tout simplement.
On est loin de certains articles du type "10 clés pour ne plus stresser" et autres qui peuvent bien sûr aider, mais qui parfois ajoute la pression supplémentaire d'avoir l'impression de posséder toutes les cartes mais de ne pas savoir s'en servir et de couler.
* ce commentaire est complètement décousu aha*
Mais voilà, tout ça pour dire que c'est un très bel article qui a son importance et qui a su trouver ses lecteurs. Merci pour ce partage ! :)
PS: ta dernière citation me fait penser à celle de Newt Scamander: "My philosophy is that worrying means you suffer twice."
Coucou ! Mais oui, quelle citation ! J'ai adoré l'entendre pendant le film, et en même temps, c'est dur de s'empêcher de s'inquiéter..
SupprimerJe me sentais assez triste de ne pas avoir d'astuces à partager, mais finalement, cet article m'a permis de recueillir plusieurs témoignages et tu as raison, ça fait du bien de se sentir moins seul(e).
Merci beaucoup pour ton commentaire en tout cas !
Coucou Cassandra! J'ai enfin pris le temps de lire ton article qui m'interpellait beaucoup. Je suis aussi une très grande anxieuse! Tu l'as peut-être d'ailleurs cerné chez moi, c'est notamment mon anxiété chronique qui m'a poussé à prendre contact avec toi. Savoir que j'allais affronter Paris avec toi me rassurait beaucoup! Donc merci d'avoir été ma coéquipière sur ce coup-là! :) On peut trouver des aspects positifs dans tout : cela m'a permit de faire ta connaissance et j'en suis très heureuse! J'espère que nous allons garder contact!
RépondreSupprimerGros bisous à toi! Eloo.
P.S. : mon résultat est sans trop de surprise : INFJ-T (Avocat)
Coucou Eloo ! Et voilà, je réponds deux jours après, désolée pour ce retard !
SupprimerJe trouve qu'on a été une équipe de choc d'ailleurs, on a géré comme il fallait dans Paris ;)
Moi aussi je suis très contente d'avoir pu mieux te connaître, il suffit d'une occasion comme celle-ci alors j'en suis ravie.
Ooh, copine INFJ ! Finalement je comprends qu'on s'entende bien et qu'on se comprenne sur plusieurs aspects.. Ca doit pas être facile tous les jours non plus pour toi, alors courage ! :)
Salut Cassandra :) Ton article est vraiment génial et intéressant. Tu mets les mots sur des choses assez complexes et difficiles et associés aux commentaires, ça fait vraiment du bien à entendre. Quelque part c'est rassurant de voir qu'on n'est pas tout seul dans ce cas-là. Sinon pour le test, je suis aussi Avocat ! ( c'est impressionant le nombre d'Avocats qu'on est dans les commentaires, alors que le site n'annonce qu'1% de la population ^^)
RépondreSupprimerSalut Cassandra :) J'ai vraiment beaucoup aimé lire ton article. Je le trouve très intéressant et juste. Tu mets des mots sur quelque chose de complexe, et associé à tout ce qui est dit en commentaire, ça fait du bien :) Quelque part, c'est rassurant de voir qu'on n'est pas tout seul dans ce cas-là. Merci d'en avoir parlé! Au fait, pour le test, je suis aussi Avocat. ( c'est fou le nombre d'Avocat présent dans les commentaires, alors que le site n'annonce que 1% de la population ^^)
RépondreSupprimerRappelles toi de ce que dit ton grand père : à chaque problème sa solution . Alors à quoi bon stresser?
RépondreSupprimerJ'ai eu "Logicien" au test... À propos : je suis une fille du vif d'or de ce samedi matin.
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